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Olé, Oléron - par DB le 2016/12/22 20:04

En 2013 une association des campeurs caravaniers de l’île d’Oléron plébiscite l’orientation prise par M. Baudrais pour...M.Baudrais (…) est parvenu sans équité à rendre légitime auprès de la population ce qui est illégal

A lire ici


Port de Trehiguier (suite) - par DB le 2016/09/17 18:22

Conseil municipal du 12 Septembre 2016   Réaction à lire ici...


Port de Tréhiguier - par DB le 2016/09/12 18:46

Les habitants de Tréhiguier et les mytiliculteurs, les premiers concernés, devraient pouvoir décider des priorités pour l’aménagement du port et ses alentours!

Etude d’avant-projet réalisé en octobre 2014

par FR environnement nautique

Aménagement d’un terre-plein de stationnement Port de Tréhiguier

Document à lire ici.

Le projet du port de Tréhiguier semble ignorer ce qui l’entoure. Des hommes et des femmes se demandent comment protéger certains site pour que les générations futures puissent apprécier leurs richesses, d’autres s’obstinent dans le même temps à les détruire pour un confort futile.

Une certitude : faire une réelle analyse de ces conflits d’usages en période estivale avant d’imaginer un quelconque projet serait une moindre chose. Les habitants de Tréhiguier et les mytiliculteurs, les premiers concernés, devraient pouvoir également décider des priorités pour l’aménagement du port et ses alentours.

BOCCAROSSA Dominique « les amis du pays entre Mès et Vilaine »


DOG - par DB le 2016/08/28 20:35

Le DOG de 2010-2011, actuellement en cours de révision, a été présidé et co-signé par monsieur BAUDRAIS maire de Penestin. Il nous a paru intéressant d’en résumer une partie avant le nouveau PLU de Penestin afin que le lecteur puisse estimer le parcours réalisé depuis sept ans. Les intentions politiques lorsqu’il s’agit « de mieux vivre dans un environnement de qualité » suscitent toujours un enthousiasme. La réalité du terrain est souvent différente.

Le DOG (document d’orientation générale) détermine les principaux axes d’orientations du SCOT (Schéma de Cohérence Territoriale), obligatoires ou conseillés aux communes de Cap Atlantique située en Presqu’île Guérandaise. Avec le Projet d’Aménagement et de Développement Durable, le DOG constitue l’une des pièces essentielles pour la révision d’un PLU (plan local d’urbanisme).


Résumé à lire ici

D. BOCCAROSSA


Trame Verte et Bleue - Argumentaires - Synthèse

 Penestin : une biodiversité et une richesse paysagère adaptées aux concepts de la TVB

La TVB permet d’inscrire la biodiversité dans les décisions d’aménagement du territoire. Elle vise une action positive sur la biodiversité par certains objectifs purement écologiques, mais apporte également des bénéfices directs et indirects à la population via les services qu’elle rend.

Lire le document entier ici


VOIE VERTE - par DB le 2016/04/17 22:30

Madame Bénédicte Dupe, élue de l’opposition a présenté au bureau municipal de Penestin le lundi 4 avril 2016 un projet « voie verte » réalisé avec la collaboration de Dominique Boccarossa, membre du conseil d'administration de l’association Mès et Vilaine.

[lire le document de présentation ici]

 

Tous ces éléments constitutifs du dossier demandent du temps et un investissement de plusieurs mois. Nous proposons à monsieur le Maire notre entière collaboration.

(Cliquer) 2016-Sch1Route1r.jpg                       2016-Sch2Route2r.jpg                2016-Sch3Route3r.jpg


PROJET CONCHYLICULTURE LOSCOLO - par DB le 2016/04/05 11:00

Synthèse du projet Loscolo  - Etude réalisé par l’entreprise Techmar

 

Contexte
 

Une première approche chiffrée sur le monde de la conchyliculture avant d’aborder le contenu du dossier Techmar. Il existe en France 3500 entreprises pour 2000 hectares dont 20% sont réservés à la mytiliculture

130 000 tonnes d’huîtres

60 000 tonnes de moules

20 000 tonnes de moules en Bretagne Nord

3000 tonnes de moules à Penestin

L’élevage en suspension (filières), surtout pour les huîtres, commence dès le 16 siècle au Japon. En France ce type de production débute dans les années 1970 en méditerranée pour les moules puis se développe les années suivantes sur toute la façade océanique et manche.

Le site de Frontignan, en pleine mer, produit 10 000 tonnes en 1995. Mais en 2001, la daurade, principal prédateur, fait un ravage et de nombreuse entreprises arrêtent leur production. Après une faible reprise, l’Espagne, la Grèce et l’Italie sont sur le marché et concurrencent la production française aux coûts plus élevés . L’île Dumet, autre exemple, est un site en partie délaissé car peu abrité.

En 2000 le Dinophysis est présent avec un seuil sanitaire élevé, donc dangereux pour la santé, sur trois sites en particulier : l’estuaire de la Seine, la baie de Vilaine et les étangs de Bages et Sigean dans le Roussillon.

En 2010 Le record absolu est atteint en Baie de Vilaine, 25 fois au-dessus du seuil sanitaire.

Le projet Loscolo a fait l’objet d’une première étude en 2005 par l’entreprise OIKOS. Un questionnaire et des rencontres auprès de plusieurs mytiliculteurs ont permis un premier diagnostic sur les besoins de la profession.

L’entreprise Techmar y fait référence dans son étude.

L’étude ACA-LOSCOLO est rédigée en 2007. L’idée d’un « hameau nouveau intégré à l’environnement » se veut une réponse aux mytiliculteurs qui ont une responsabilité sanitaire, l’obligation d’utiliser l’eau de mer et éviter les diverses pollutions toute l’année, c'est-à-dire conserver une eau propre. Et pour certains, des espaces-ateliers plus grands.

Le projet selon Techmar

Le site choisi pour la faisabilité du « hameau » est lié à la qualité de l’eau. Deux sites sont favorables à l’exploitation pour la qualité de l’eau : le Bil et Loscolo

La surface des terres agricoles à proximité (20 hectares environ) permet une implantation relativement simple, éloignée des zones urbanisées. Les mobiles homes aux deux extrémités du site ne sont que des illusions urbaines. De 9 hectares urbanisés par le projet on peut toutefois les rajouter sur l’ensemble de cet espace agricole.

Le bureau d’étude confirme la qualité de l’eau par une observation visuelle (page 8) : « l’eau est claire donc propre ». On a le droit de sourire. Mais au prix de l’étude c’est moins drôle.
 

Les locaux

Plusieurs solutions peuvent être proposées. Les professionnels ont le choix entre des locaux collectifs comme le souhaite le GIE (à l’initiative du projet) permettant d’associer la production, la commercialisation, les conditionnements. Des locaux individuels, des locaux en location ou des locaux vides sans alimentation ni évacuation d’eau de mer pour ceux qui souhaitent se limiter à la vente en gros.

Les professionnels intéressés

Sur un total de 37 professionnels 19 répondent favorablement mais sans engagement. Les raisons évoquées sont les suivantes :

5 pour transmission entreprise

5 pour investissement

2 pour future retraite (sic)

2 pour créer une nouvelle entreprise

2 parce qu’ils sont jeunes (sic)

3 pour déménager

Cependant 9 sont réellement motivés ( page 30 )  : 3 du logo - 2 du lomer - 2 du scal - 2 autres ?

On peut dire 7 si on oublie les 2 autres

Les aides

Les subventions « aide au départ » sont limitées aux professionnels qui exercent leur activité au Logo et au Scal. Ceux du Lomer et tous les autres n’y ont pas droit. Ce qui limite une nouvelle fois le nombre des candidats mais ce n’est pas précisé. Par contre les mytiliculteurs (GIE) à l’initiative du projet , c'est-à-dire 5 professionnels , peuvent espérer une subvention. Donc des 37 professionnels au départ recensés, on est passé à 19 - puis à 9 - puis 7 - pour finir à 5 avec plus de certitude.

Il reste toutefois trente pages pour convaincre le lecteur de l’intérêt économique, environnemental et financier d’une zone d’activités conchylicoles de 9 hectares sur des terres agricoles.

Organisations et types de lotissement

Deux propositions : vente de parcelles individuelles avec bâtiments ou vente sans bâtiments.

Deux problèmes : risque de bâtiments construits mais invendus ou risque de terrains vendus mais laissés en friches

Pas de solution (page 60) mais l’étude se poursuit.

Les axes routiers

Le choix de Loscolo est d’un intérêt supplémentaire, est-il précisé, pour la circulation des mytiliculteurs de leur point de production à celui de la transformation. Plusieurs cartes (page 63-64) tentent de nous convaincre que les distances sont réduites et que les routes empruntées sont plus pratiques.

Soit ils ont reproduit une même carte avec une ou deux couleurs supplémentaires en pensant que le lecteur y verrait une réelle différence, soit ils espèrent une lecture en diagonale du dit lecteur qui se contentera d’un visuel qu’il peut croire (comme aux infos TV) sans vraiment avoir besoin de l’analyser. Aucun intérêt.

Nous étions, en hypothèse basse, avec 9 mytiliculteurs pouvant être solidaires du projet. Mais certains (leur nombre n’est pas précisé) promettent de ne pas s’y associer s’il n’y a pas de nouvel accès du site de production à celui de la transformation (page 78).

On pense et on voit une falaise qui gêne. Il reste toutefois nos cinq et irréductibles associés. De solidaires on se rapproche de solitaires.

Pourtant page 71 aucun accès n’est vraiment adapté. L’étude confirme.

L’étude, à ce stade, préfère se concentrer sur les différentes techniques de pompages, les coûts de maintenance puis propose une solution (enfin) adaptée à l’environnement et aux nombres d’installations (bien qu’il n’y ait aucune certitude sur leur nombre).

Après cette parenthèse technique mais nécessaire car sans eau de mer pas de zone ACA - le prix de la maintenance annuelle est toutefois estimée à 25000 euros - l’étude revient sur l’organisation du site comme si toutes les questions laissées sans réponses n’avaient jamais été posées.

Organisations et types de lotissement

L’idée est donc reprise d’installer sur 9 hectares le projet suivant :

1 hectare de bâtiments ( 18 bâtiments de 500 m2 en moyenne - un bâtiment fait environ 18 mètres de large sur 30 m de long et environ 20 m de hauteur ce qui correspond à un immeuble de 3 étages.

Vue sur mer et vue de la mer car c’est la partie la plus élevée de la presqu’île de Larmor

1 hectare d’espaces verts +bassins

1 hectare de voiries

5 hectares de parcelles

+ déchetterie + maison de gardien + maison de la mytiliculture

Surfaces imperméabilisées 4 hectares. Le projet prévoit toutefois la réalisation d’une autre étude approfondie sur l’écoulement des eaux pluviales.

Coût des infrastructures globales sans les bâtiments (à la charge des mytiliculteurs) ni les routes d’accès (à charge de la commune)  : 2 500 000 d’euros (il y a dix ans). Aujourd’hui on peut raisonnablement l’estimer à 4 000 000 d’euros

Ne sont pas compris les frais d’études : fouilles archéo, études géotechniques, relevés topographiques, défrichages...

L’entreprise TECHMAR est aussi une entreprise de conseils, de bons conseils. Elle préconise de séparer la réalisation du « hameau » mytilicole de la réalisation concernant l’accès à la cale.

A ce stade, on comprend que ce dossier s’obstine à vouloir convaincre mais sans réels fondements.

L’étude conseille donc deux processus pour deux dossiers distincts. Le « hameau » sera réalisé en premier car « moins compliqué » (sic) et l’accès à la cale en second car « il pourrait y avoir des opposants » (sic)

En fin de dossier, après remplissage, il n’est toujours pas précisé si le projet est viable économiquement.

L’étude est financièrement trop faible pour espérer des subventions à l’échelle de ce projet

On devine cependant un désir de le faire aboutir mais sans de réels arguments ni solutions pérennes. Les chapitres sont très mal assortis. On passe parfois d’un sujet à un autre sans aucune volonté de clarification. L’étude paraît compliquée mais elle est plutôt dispersée sauf la partie technique concernant les différents systèmes de pompage, peut-être avec raison, et oblige le lecteur à des retours en arrière pour vérifier ou comprendre l’intention.

TECHMAR a tout de même conscience qu’il lui faut un minimum de sérieux pour paraître crédible. C’est en fin de dossier qu’elle énumère les démarches nécessaires pour l’aboutissement du projet. Etudes préliminaires, études environnementales, études d’impacts sont donc recommandées.

Le rapport TECHMAR est ici (pdf de 1MO)
 

Dominique Boccarossa
 


LE MAIRE MONTRE L'EXEMPLE - par MAE le 2016/01/16 22:57

L'association Mès et Vilaine offre ses meilleurs vœux à tous. Que 2016 soit une année de protection accrue des milieux naturels. Y compris à Pénestin, où les lois sont très souvent bafouées. En voici un nouvel exemple:

A la suite de l'aménagement foncier terminé en 2008, la commune s'est trouvée propriétaire de 2ha à gauche du CD 34, après le carrefour de Barges, quand on va vers Pénestin.

Ce terrain étant réservé à l'agriculture, la commune a choisi d'y ouvrir une décharge pour les travaux municipaux. Sans demander une autorisation qui aurait été nécessairement refusée au regard du Plan Local d'urbanisme, du code de l'environnement et de la Loi sur l'eau.

Car une partie du terrain se trouve en zone humide et au bord d'un ruisseau. Mais le tout a été « oublié » dans l'inventaire communal des zones humides.

Pénestin, une commune hors la loi.

Article que l'association a fait parvenir à Ouest France:

OuestFrance-20160107

A propos de l'importance de l'eau et du rôle des élus locaux pour sa préservation...


MAREE MONSTRUM? - par GGO le 2015/03/24 23:54

La marée du siècle n'a pas tellement impressionné, la mer s'est retenue! La photo ci-jointe, prise le 21 mars 2015, peut l'être à chaque grande marée. Ceci explique pourquoi tout ce secteur est très largement classé submersible par les eaux de la mer. Y compris les terrains limitrophes du marais. Dont la parcelle des Hauts de Vilaine. Comment un élu a-t-il pu être aussi ignorant du phénomène des marées pour délivrer un permis de construire pour un immeuble collectif dans un pareil endroit ?

Et avant la construction de la route qui coupe ces marais, l'eau de mer envahissait souvent cette zone, et passait parfois par dessus la route de Tréhiguier, ceux qui roulaient à vélo à l'époque s'en souviennent...

La suite des photos de cette marée (et d'autres) dans "Photos" "Marées" (merci de nous en envoyer d'autres, si vous avez)

2015-0321-maree08_r.jpg


PLAGES - par MAE le 2015/03/18 09:54

Elles attirent les vacanciers par millions. Mais avec la hausse des océans, les plages sont condamnées partout où les humains essayent supposément de les protéger. C'est l'avertissement que lance Orrin Pilkey, professeur émérite de sciences de la terre et des océans à l'Université Duke, dans The Last Beach, un livre publié récemment avec son collègue Andrew Cooper, de l'Université d'Ulster, en Irlande du Nord.
Q: Comment est venu cet intérêt pour les plages?
R: J'étais déjà professeur à l'Université de Géorgie quand j'ai dû venir au secours de mes parents qui vivaient sur la côte au Mississippi. Leur maison avait été lourdement endommagée par l'ouragan Camille. Ça m'a amené à réfléchir sur les dynamiques côtières. Rapidement, il m'est apparu que ce qu'on pouvait observer sur les côtes des États-Unis, c'était de la pure folie.
Q: Pourquoi?
R: Partout, on ajoutait des murets pour protéger des bâtiments construits le long des plages. Ce faisant, on condamnait la plage à disparaître parce qu'elle était coupée de sa source de sable. Aujourd'hui, construire des défenses en dur sur une plage est interdit dans la plupart des endroits, même s'il y a des gens qui réussissent quand même à contourner ces interdictions.
Q: Par exemple?
R Récemment, à l'île Debideu, en Caroline-du-Sud, un muret s'est effondré sur la plage. Mais il protégeait des gens très riches et très importants. Alors, même s'il y a une loi très stricte qui l'interdit, ces gens sont allés devant la législature et ont obtenu une permission spéciale instantanément.
Q On n'a rien trouvé de mieux pour protéger les plages qu'une solution qui, en réalité, les fait disparaître?
R: Depuis les années 70, on utilise la recharge de sable, mais c'est une solution qui dure beaucoup moins longtemps que les ingénieurs côtiers ne l'affirment. Comme je l'indique dans mon livre, pratiquement tous les projets de recharge aux États-Unis depuis 40 ans ont eu une efficacité moindre que celle qui avait été annoncée. Dans bien des cas, c'est à recommencer tous les trois à cinq ans. Et avec la hausse des océans, c'est une solution qui va coûter de plus en plus cher. Dans la région des Outer Banks, en Caroline-du-Nord, on est déjà rendu à 10 millions par mille (1,6 km). Et c'est sans parler des effets néfastes sur l'environnement.
Q: Quels effets néfastes?
R: On détruit l'environnement là où on puise le sable, et on détruit celui de la plage qu'on veut sauver.
Q: Les plages sont donc si fragiles?
R: Non, les plages sont quasiment indestructibles! Ce sont les gens qui disent vouloir les protéger qui, en fait, les détruisent. Pour s'adapter à la hausse des océans, les plages ont besoin de reculer. Pour cela, elles doivent avoir accès à leur source de sable, qui se trouve en retrait, et de tempêtes pour déplacer le sable. Mais les gens qui disent vouloir protéger les plages veulent en fait protéger les bâtiments qui y sont construits. Et ils empêchent ce processus.
Q: Quel est l'avenir des plages?
R: On prévoit environ 1 mètre de hausse des océans d'ici 2100, mais les effets se feront sentir bien avant. Selon nous, d'ici 30 ou 40 ans, les plages auront disparu dans plusieurs endroits où le littoral est habité. La recharge aura été abandonnée au profit de murets, qui accélérera leur perte. Puis, vers la fin du siècle, elles auront complètement disparu à ces endroits. Le pire endroit au monde pour cela est le sud de la Floride. Sur 100 milles (160 km), il y a des centaines de tours d'habitation sur la plage. Qu'est-ce qui va arriver avec 1 mètre de hausse? Sûrement que tous ces bâtiments vont se transformer en magnifiques récifs! Et pour voir une vraie plage dans son état naturel, il faudra se rendre en Namibie, avec ses 800 milles de côtes... mais il faudra faire attention aux lions.
http://www.lapresse.ca/environnement/pollution/201502/09/01-4842484-vers-la-fin-des-plages.php 

Charles Côté
La Presse


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